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Protection solaire : Les idées reçues

On aime tous la grâce du soleil. De sa lumière naît de la vitamine D, essentielle pour fixer le calcium et le phosphore dans notre corps. Il booste notre moral, fouette notre énergie et réchauffe nos instants de partage en terrasse.

Mais avant de lézarder sur sa serviette et de flâner en famille sous un soleil de plomb, on vous propose de faire un petit point soleil avant le grand départ en vacances.

On prend souvent part à des conversations nourries de fausses croyances sur la protection solaire. Des chimères qui se transmettent de mère en fille, auxquelles il est grand temps de tordre le cou !

C’est pas grave, on va mettre un t-shirt !

Comme par exemple, celle de porter un simple t-shirt en coton en guise de bouclier contre le soleil. Pour rappel, ces rayonnements filtrés par notre couche d’ozone, à tendance anorexique, sont responsables de brûlures à retardement, du vieillissement précoce de la peau et de l’apparition de cancers cutanés. Tandis que le coton d’un t-shirt laisse passer 1 rayon sur 5 et perd la moitié de son efficacité une fois mouillé, un t-shirt anti-UV certifié UPF 50 (c’est à dire laissant passer seulement 1 rayon sur 50) garantit une protection solaire efficace en filtrant 98% des UV.

Il existe aujourd’hui deux manières de rendre un tissu anti-UV. La plus répandue est d’empiffrer le modèle de filtres chimiques, pour le rendre abordable aux yeux du consommateur. Le hic ? Des études ont montré que plus le tissu est mouillé ou étiré, plus les filtres chimiques s’estompent. Au final, plus votre enfant va nager, moins il sera protégé contre les UV !

La deuxième façon de s’immuniser contre la nocivité des rayons solaires, est par le maillage des fibres. A savoir que les deux tissus « naturellement » plus efficaces sont le jeans et le velours côtelé, connus pour leurs maillages particulièrement denses. Très efficace à la ville, on a de sérieux doutes sur le confort et l’éventuel avenir d’un bikini en denim à poches !

C’est pas grave, on va mettre de la crème !

Dans la famille de la protection solaire, nous voudrions également abattre la carte de la crème. Cette autre idée reçue qui recommande une fréquence quasi-frénétique, lors d’une exposition. Selon la loi du marketing, il faudrait badigeonner la peau de notre enfant à hauteur de 5 sprays par bras, toutes les deux heures ! Ce qui représente 5 à 6 cuillères à soupe pour l’intégralité du corps... Sympa le look momie.

Si l’on suit ce processus, une récente étude a démontré qu’il faudrait débourser le montant astronomique de 2500 euros, pour une tribu de 5 personnes en vacances durant un mois. Pas surprenant que les marques observent chaque année, des millions de tubes s’écouler. Hormis son coût pharamineux, il a été prouvé que la crème solaire peut se révéler inefficace, voire dangereuse pour la santé de notre peau. D’après une association américaine (EWG), seul 1 produit sur 4 serait armé pour contrer les effets indésirables du soleil.

La deuxième façon de s’immuniser contre la nocivité des rayons solaires, est par le maillage des fibres. A savoir que les deux tissus « naturellement » plus efficaces sont le jeans et le velours côtelé, connus pour leurs maillages particulièrement denses. Très efficace à la ville, on a de sérieux doutes sur le confort et l’éventuel avenir d’un bikini en denim à poches !

Pire encore, certains flacons proposent à portée de pschitt, un délicieux melting-pot de conservateurs, particules chimiques cancérigènes et perturbateurs endocriniens, ayant un impact alarmant sur notre bien-être et celui de l’écosystème marin.

Le montant de crème solaire qui se déversent chaque année dans les mers de notre monde, serait évalué entre 6 000 et 14 000 tonnes. Les coraux blanchissent, des espèces disparaissent. Pas étonnant que l’archipel d’Hawaï souhaite bannir ce poison de ses eaux.

C’est pas grave, on va en Bretagne !

Le célèbre adage qui suggère que nul n’ait besoin de prendre ses dispositions sous un ciel ombragé, ne sera pas non plus épargné. On se dit secrètement : « Ça ne tape pas trop, je me ferais bien un petit somme sur plage. Parasol dans le coffre. »

Ce n’est pas parce qu’on a choisi de passer ses vacances à Belle-Île ou à Quimper, que notre capital santé ne sera pas ébréché par le rayonnement du soleil. Bien au contraire. La preuve en est qu’en 2014, la Bretagne recensait 1305 cas de mélanomes, soit 3 fois plus que la moyenne nationale.

Mais que sont les UVA et UVB et pourquoi toute cette agitation ?

Parce qu’ils pénètrent dans notre peau et sont reconnus coupables de bien des maux. Les UVA et UVB sont des ondes de longueurs différentes. Les UVB - de longueur d’onde moyenne, sont principalement responsables des brulures à retardement et sont en majorité stoppés dans l’épiderme. Les UVA attaquent en profondeur notre peau jusqu’à heurter le derme, et sont responsables du développement de cancers cutanés à terme.

Et UPF, ça veut dire quoi alors ?

Les marques de cosmétiques ont longtemps parlé de SPF (Sun Protection Factor) - en français de FPS (Facteur de Protection Solaire), voir même d’« écran total », ce qui n’est plus autorisée en Europe car aucune lotion n’a le pouvoir de vous protéger radicalement du soleil.

Avec l’arrivée des cabines de bronzage dans les années 90, s’est développée une véritable prise de conscience autour des UV et une nouvelle unité de mesure appelée UPF (Ultra-violet Protection Factor) fait son apparition en Australie. D’abord utilisée afin de mesurer l’efficacité des textiles contre les UV, les maisons de cosmétiques vont peu à peu elles aussi développer des crèmes, dont le niveau de protection solaire atteindrait le maximum, un UPF de 50 +. Etrange mon cher Watson ?

De ce triste constat, pointe la folle envie de sauver sa peau. Nous disposons tous d’un capital solaire bien différent et propre à chacun. Le CNRS le définie comme « l'ensemble des moyens de défense de la peau contre les effets néfastes du soleil ». Acquis à la naissance et non renouvelable, il dépend du type de peau et de sa sensibilité face à l’exposition. Et lorsque le capital soleil arrive sur la réserve, les cellules abimées ne peuvent se régénérer et c’est là, que ça se complique. En particulier pour nos bambins.

Un enfant bronzé dans les années 80 était usuel, voire banal. Aujourd’hui, le phénomène est devenu « has been » et on ne peut que valider. Saviez-vous qu’un enfant consomme plus de la moitié des rayonnements censés être reçus en une vie, avant ses 20 ans ? Nos kids dégustent autant car les cellules de leurs peaux fines ne bénéficient pas de la même capacité de réparation que celle des adultes. Le soleil est un ennemi redoutable pour leur chair fraîche.

La solution des dermatos ? Habiller son petit bout d’un t-shirt anti-UV, certifié UPF 50 +. Cet indice de protection solaire garantit de contrer au minimum 95% des UVB et 98% des UVA. Intéressant, quand on sait que 60% des zones à risques se concentrent sur le dos, les bras et le torse de nos petits chéris.

C’est pour répondre à ce constat que CANOPEA a crée une ligne de maillots de bain anti-UV et eco-friendly pour enfants. Les secrets de la recette ? 0% de filtre chimique ou substance nocive pour 100% de fibres recyclées. Les maillots de bains anti-UV CANOPEA, assurent une protection solaire grâce à un maillage digne des plus beaux jeans, mais en version légère ! Faciles à enfiler, ils sèchent en un battement de cil. Epurés et made in Europe, tous les modèles sont conçus dans le respect des conditions de travail, à partir de tissus Européens certifiés UPF50+ et Eco-tex. Mis à l’épreuve plus de 200 heures dans de l’eau chlorée et salée, rien ne leur résiste ! CANOPEA s’engage à vos côtés à être plus responsable pour notre corps, responsable pour la santé de nos enfants et responsable pour la survie des coraux. Alors, on clique ?/p>

Pour en savoir plus sur la protection solaire et l'histoire du bronzage, c'est par ici.



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